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Eglise Saint-Herlé

Site et monument historiques, Classé ou inscrit (CNMHS), Eglise à Douarnenez
  • Ploaré est le siège d'une paroisse ancienne qui comprenait aussi Le Juch et Gourlizon, ses trèves. La construction de l'édifice actuel a débuté vers 1548 ainsi que l'atteste une inscription jadis lisible à la base de la tour.

    De nombreuses dates de 1550 à 1593 jalonnent la progression des travaux.

  • Monument classé 1910.

    Ploaré est le siège d'une paroisse ancienne qui comprenait aussi Le Juch et Gourlizon, ses trèves. La construction de l'édifice actuel a débuté vers 1548 ainsi que l'atteste une inscription jadis lisible à la base de la tour.

    De nombreuses dates de 1550 à 1593 jalonnent la progression des travaux.

    Cette tour, comme celle de Saint-Tugen en Primelin, de Saint-Herbot en Loqueffret, est inspirée de celles de la cathédrale Saint-Corentin à Quimper, commencées en...
    Monument classé 1910.

    Ploaré est le siège d'une paroisse ancienne qui comprenait aussi Le Juch et Gourlizon, ses trèves. La construction de l'édifice actuel a débuté vers 1548 ainsi que l'atteste une inscription jadis lisible à la base de la tour.

    De nombreuses dates de 1550 à 1593 jalonnent la progression des travaux.

    Cette tour, comme celle de Saint-Tugen en Primelin, de Saint-Herbot en Loqueffret, est inspirée de celles de la cathédrale Saint-Corentin à Quimper, commencées en 1424.

    Vers la fin du XVIe siècle, avec les guerres de la Ligue, les travaux semblent interrompus à peu près au niveau de la base de la pyramide.

    La construction de la flèche reprend ensuite, au cours du XVIIe siècle (1603, 1679, 1684...), ce qui lui donne cet aspect composite.

    Cette situation est encore compliquée en raison des restaurations entraînées par la chute de la foudre à plusieurs reprises.

    La tour et la flèche de l'église de Ploaré sont de structure gothique typiquement cornouaillaise, mais la flèche et certains clochetons plus tardifs ont un décor qui s'inspire de celui en usage au XVIIe siècle.

    La poursuite des travaux en direction de l'est est plus complexe.

    L'examen de la construction permet de voir un certain nombre de repentirs, de raccords plus ou moins réussis montrant les modifications des projets au fur et à mesure de l'avancement de l'œuvre.
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